“Une nouvelle Ukraine?” – un long entretien avec Oleksandr Danyliouk, secrétaire du Conseil National de Sécurité et de Défense, dans Politique Internationale

Après 100 jours au pouvoir égayés de symboles forts et de déclarations tout azimut, la présidence Zelenskyy commence véritablement aujourd’hui.

Rien n’indique pour l’instant que Volodymyr Zelenskyy ait voulu accéder à la “faveur” formulée par Donald Trump. Le président ukrainien est avant tout dépassé par une affaire entamée en 2016 – et qui pourrait le plonger dans le piège des affrontements partisans qui déchirent Washington.

As Ukrainians observe several Western countries working hard to renew their relations with Russia, one may feel like Ukraine is yet again a spectator rather than the master of its own fate. Yet the 40-million country is far from powerless to prepare for what appears like an inevitable reintegration of Russia into the world diplomacy.

Saga politique de l’été, les affaires collent désormais à la peau de l’ancien président, convoqué comme témoin dans 12 enquêtes. Justice, revanche, ou persécution politique?

Avec ce nouvel épisode de la “guerre des passeports”, Volodymyr Zelenskyy tient une des premières promesses formulées après son élection en avril. L’initiative intervient alors que l’organisation d’une rencontre au sein du “groupe de Normandie” s’avère complexe.

Beaucoup des nouveaux députés ont juste bénéficié du nom de Zelenskyy pour être élus, et n’ont aucune expérience de la politique. Alors le président les a renvoyé… à l’école.

L’équipage russe a été libéré dans la journée, alors que les Ukrainiens attendent leurs marins depuis novembre. Reste que le but de l’initiative ukrainienne n’est pas clair.

L’arrestation est moins impressionnante que l’affaire Moutaux de 2016. Mais elle confirme la place de l’Ukraine sur la carte européenne des trafics d’armes.

Comment Volodymyr Zelenskyy, encore un acteur il y a 6 mois, se voit remettre quasiment toutes les clés du pouvoir – et ne compte pas s’arrêter là.

The foreseen success of Opposition Platform – For Life! and other Russia-friendly parties comes as a shock to many in war-torn Ukraine. It is yet very explainable with a diversity of factors.

Ouvres-bouteille, sacs de nourriture, vêtements, calendriers, tasses, Dark Vador et Jean-Claude Van Damme… Bienvenue au musée des ordures électorales.

Les législatives anticipées organisées en Ukraine, dimanche 21 juillet, par le nouveau président Volodymyr Zelenski pourraient conduire à changer plus des deux tiers du Parlement. Mais les pratiques anciennes de corruption et de clientélisme font de la résistance.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, élu en mai dernier sur une vague de dégagisme, a convoqué des élections législatives anticipées pour amplifier sa victoire et s'assurer une solide assise à la Rada, le parlement ukrainien. D'autres partis, comme la formation europhile et libérale Holos, espèrent aussi capitaliser demain sur ce désir de renouvellement politique.

La guerre a déplacé des milliers d’Ukrainiens installés dans l’est du pays. Partis à l’Ouest ou en Russie, leurs divisions exacerbées par le conflit peinent à se résorber.

Dans un pays déchiré depuis 2014, le président Zelensky parie sur une majorité suffisante aux législatives de dimanche pour engager une politique de désescalade avec Moscou.

How newly-elected Ukrainian President Volodymyr Zelenskiy responds to Moscow’s provision of Russian passports to residents in occupied Donbas will not only set the tone for his administration’s foreign policy, but could seriously unsettle Putin’s project of consolidating a sphere of influence in the post-Soviet region.

La Cour suprême autrichienne a autorisé le 25 juin dernier l'extradition de l'oligarque ukrainien Dmytro Firtash vers les États-Unis. Cet homme-clé de l'Ukraine post-soviétique pourrait être d'une aide précieuse aux autorités américaines dans le cadre de l'enquête sur l'ingérence russe dans l'élection de Donald Trump en 2016.

La mission de l’OSCE a encadré, le 26 juin, une amorce de retrait des belligérants de la ligne de front.

Pourquoi réintégrer la Russie dans une instance jusqu’ici très respectable, demande-t-on ici, alors que le Kremlin est l’ennemi du droit international?