À 550 kilomètres au nord-est de la frontière ukrainienne. Et 200 kilomètres au sud-est du centre de Moscou. La ville russe de Ryazan et sa base aérienne semblaient à l’abri de tout. Autant dire que l’attaque ukrainienne, ce lundi, visant les bombardiers stationnés sur la piste a frappé les Russes de stupeur.

L’Allemagne pourrait reconnaître, ce 30 novembre, l’Holodomor comme “génocide”. Mais la question n’en finit pas de susciter le débat.

La prochaine fois que M. Zelensky donnera une leçon de morale aux Occidentaux pour exiger leur soutien, cette séquence ressortira, à tort ou à raison. Il y aura toujours des soi-disant experts, des blogueurs, voire une perdante frustrée à une élection présidentielle française pour exploiter la confusion et prétendre que l’une ou l’autre partie dissimule des informations.

Les Occidentaux assurent que le missile tombé viendrait d'Ukraine. La Russie est néanmoins tenue responsable en raison de sa "guerre illégale". Kiev persiste à présenter le missile comme russe.

La députée ukrainienne Lesia Vasylenko plaide pour l’ouverture des négociations d’adhésion à l’UE et cherche à sécuriser le soutien financier des Occidentaux. Rencontre.

L’annonce du retrait russe de Kherson trahit une énième faille de l’invasion de l’Ukraine.

On se plaît à répéter que Vladimir Poutine a grandi dans les rues de Leningrad, livré à lui-même. Cette enfance, probablement mythiLée en partie, suivie d’une fructueuse carrière au sein des services de sécurité soviétiques puis russes, est censée avoir façonné son logiciel de pensée, si déroutant pour les Occidentaux.

Le Brésil semble plus polarisé que jamais, avec ses différentes composantes radicalisées à l’extrême.

On pourrait remplir des pages entières en plus des volumes déjà consacrés aux mensonges de la Russie de Vladimir Poutine, tous plus invraisemblables les uns que les autres.

Le membre de la prestigieuse famille s'est rendu en Ukraine comme combattant.

Une initiative lancée par des internautes a conduit à l'annexion fictive de l'exclave russe sur la mer Baltique. La satire vise à ridiculiser les simulacres de référendums russes en Ukraine.

En réponse, Volodymyr Zelensky a déposé une demande d’adhésion accélérée à l’Otan.

Ces "référendums" n’avaient rien d’une élection, mais relevaient simplement d’une opération de communication. Vladimir Poutine nous informait juste de ce qu’il avait l’intention de faire il y a des mois déjà : voler des territoires conséquents et y nier l’existence même de l’Ukraine.

Certains pays contournent les sanctions à la Russie et continuent de faire commerce avec elle.

"J'ai lancé une guerre injustiGée sur des prétextes fallacieux. Je veux annexer les territoires que j'occupe avec une brutalité inouïe. Et si quelqu'un tente de me les reprendre, j'invoquerai le principe onusien de l'intégrité territoriale de mon État souverain et je le menacerai d'une attaque nucléaire." C'est en substance ce qu'aurait pu déclarer Vladimir Poutine lors de sa dernière logorrhée télévisée, mercredi matin. À supposer qu'il ait une once d'honnêteté en lui.

La carte de l’invasion russe en Ukraine a changé. Radicalement et rapidement. Depuis début septembre, les forces ukrainiennes auraient reconquis plus de territoires que les Russes n’en ont occupé ces quatre derniers mois. Les Ukrainiens sont les premiers surpris de ce revirement.

L’armée ukrainienne a libéré une zone de plus de 8 000 km2 dans le nord-est du pays. Kiev entend récupérer l’entièreté de son territoire, Crimée et Donbass compris.

La confirmation de gains territoriaux conséquents et remarquablement rapides ouvre des perspectives pour l'armée ukrainienne.

On le surnomme le "psychothérapeute des Ukrainiens". Très visible sur les réseaux sociaux, il met en scène son influence sur la politique.

Une enquête de journalistes sur la côte d'Azur a identi6é de riches Ukrainiens qui semblent s'accomoder de la situation dramatique de leur pays. Certains d'entre eux sont en âge de combattre.